Lors du CSE de mars, la DRCAD nous a présenté un dossier sur les enregistrements téléphonique et soumis au vote des élus. Une notion d’enregistrement qui à l’origine du dossier devait se baser sur 80 % des appels reçus mais un recul de dernière minute de la direction nous a proposé 50 %.
Une étude d’impact sur l’ensemble des sites destinés à voir leur taux d’enregistrement augmenter a été mise en place, voilà que nous apprenons que le site de Libourne qui n’était pas concerné par les enregistrements (et qui par conséquent n’a pas été intégré à l’étude d’impact) se retrouve du jour au lendemain, et après des informations contradictoires, associé aux enregistrements.
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