Accord activité partielle : le COVID s’éloigne…

activité partielle

Lors de la CDSP du 28 février, le ton était plutôt positif sur la situation sanitaire : « nous vivons la phase de reflux de la 5ème vague ». De fait, le bilan temporaire (incomplet car tous les chiffres ne sont pas arrivés) arrêté au 22 février est en baisse par rapport à janvier (bilan définitif) :

  • 166 salariés en activité partielle pour vulnérabilité (221 en janvier)
  • 91 fonctionnaires en ASA éviction pour vulnérabilité (131 en janvier)
  • 567 salariés en activité partielle pour garde d’enfants (2048 en janvier)
  • 40 fonctionnaires en ASA éviction pour garde d’enfants (147 en janvier)

Les nouvelles mesures prises par le Gouvernement et transmises à La Poste vendredi dernier sont appliquées strictement par le Groupe et donnent lieu à des allègements et des modifications de l’accord. Rien ne change en ce qui concerne les personnes vulnérables.

En revanche, en ce qui concerne les gardes d’enfant, seuls 3 motifs seront désormais pris en compte :

  • Si l’école ou de l’établissement est fermé pour raison sanitaire (et uniquement pour cette raison-là).
  • Si un enfant est reconnu cas contact par l’assurance maladie s’il a moins de 16 ans et isolé pour maladie immuno-dépressive (le justificatif demandé : une déclaration sur l’honneur).
  • Si l’assistant maternel est positif ou cas contact dans le milieu intra-familial et qu’aucun des parents ne peut télétravailler.

Pour les autres cas, les parents seront invités à aller sur le site ameli.fr. Pour toute information complémentaire : FAQ COVID-19 – Activité partielle – chômage partiel (travail-emploi.gouv.fr)

FO Com déplore que La Poste n’ait pas été mieux-disante que le Gouvernement et reste vigilante à toute évolution de la pandémie.