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La prime COVID mise en place à La Poste n’était déjà pas bien généreuse : 300 € maxi.  La règle de calcul de cette prime, (avec des tranches par semaines entières) faisait perdre une semaine dès qu’il manquait 1 jour. De nombreux agents ont été victimes de ce calcul.

Mais comme si ça ne suffisait pas, tous les moyens ont été bons pour en donner le moins possible.

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FO alerte depuis longtemps la Direction du Courrier sur la situation des encadrants de proximité et des ROP, inquiétante à bien des égards, notamment concernant leur charge de travail.

Bien avant la crise du COVID, les encadrants étaient déjà sous tension avec une charge de travail élevée, sans compter les coups de mains à donner pour assurer ici ou là des travaux de production.

Comme vous l’avez remarqué, notre campagne électorale est inédite. Avec la situation sanitaire, notre campagne de terrain reste incertaine ; visites de sites, HMI et autres présences physiques peuvent être remises en cause au dernier moment. Ce contexte nous amène donc à être vigilants car il est hors de question de ne pas être auprès des postiers !

Il est donc indispensable de vous approprier nos outils numériques. D’ailleurs, avec ou sans crise sanitaire, à l’ère du tout digital, la campagne se fait aussi sur ce terrain-là! Cependant, FO COM ne néglige pas les tracts papiers.

A rebours des propos gouvernementaux, en pleine crise sanitaire, sociale et économique, La Poste externalise des pans entiers d’activité à l’étranger.

Depuis plusieurs années La Poste externa!ise des pans entiers de son activité informatique dans des pays hors territoire national, notamment en Pologne, au Maroc, en Inde, au Canada.

Ses dirigeants, obnubilés uniquement par la réduction immédiate des coûts sur !a main-d’œuvre interne, poursuivent cette politique néfaste de slgnatures de contrats auprès de multiples prestataires. Mais peu importe, même si sur !e moyen et long terme ces opérations se révèlent économiquement contestables et stratégiquement aventureuses.

Les activités sociales sont essentielles, contribuent à une meilleure conciliation entre vie privée et vie professionnelle et offrent des possibilités de loisirs et de détente nécessaires à l’épanouissement personnel.

• Un budget à la hauteur
  Au COGAS* et dans les commissions, FO Com défend ardemment le budget social et propose de nouvelles dispositions en matière d’action sociale. Le budget social a ainsi pu progresser de 14 % en moyenne par postier sur les 5 dernières années.
• Des activités sociales sources de cohésion sociale
  Pour FO Com, les activités sociales ne doivent pas être seulement un élément de revenu supplémentaire, elles sont bien plus que ça ! La politique sociale doit servir tous les postiers et particulièrement ceux qui en ont le plus besoin à toutes les étapes de la vie, en tout point du territoire.