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Attention à votre avis d’imposition !

3c7d800b509013482bed4b1d83c7c2Beaucoup d’erreurs au détriment des contribuables ont été constatées. Certaines données n’ont pas été prises en compte dans le calcul de l’impôt (naissance en 2017, crédits d’impôts…). Il s’agirait, en fait, d’un souci de transmission entre la déclaration en ligne et l’édition de l’avis d’imposition.

Si le montant de votre impôt vous semble trop important, connectez-vous au site de l’administration fiscale ( impots.gouv.fr )  !

Au moment où il est question de prélèvement à la source (prévu officiellement le 1er janvier 2019), il serait préférable qu’il n’y ait pas de soucis avec le taux de prélèvement ! D’autant plus que, comme le souligne Pascal Pavageau, Secrétaire Général de la Confédération Force Ouvrière, le prélèvement à la source implique une baisse du montant mensuel sur la fiche de paye, ce qui va mettre à mal les travailleurs et donc la consommation.

FO alerte le gouvernement des dangers du prélèvement à la source sur les ménages et sur l’économie du pays, pays qui a certainement le meilleur système d’impôt sur le revenu.

L’allocation de scolarité à compter du 1er septembre

L’allocation de scolarité est octroyée pour les familles ayant des revenus particulièrement bas. Cette aide financière vise à prendre en charge une partie des frais de scolarité engagés par les postières et les postiers pour leurs enfants.

Nouveauté 2018 : En plus des études secondaires et supérieures, le primaire (du CP au CM2) entre dans les conditions d’attribution. Sous conditions de ressources, l’avis d’imposition doit être obligatoirement fourni afin de pouvoir bénéficier de cette offre.

Pour en savoir plus, connectez-vous sur : www.portail-malin.com

Identifiant : offre/Mot de passe : sociale => Onglet Enfance => Rubrique Scolarité.

CDI Intérimaire : pour FO, c’est NON !

Force Ouvrière est contre le CDI Intérimaire car il maintient les intérimaires concernés dans une totale précarité, sans aucune protection inhérente au CDI traditionnel. Bien que La Poste ait recours à ces contrats, nous revendiquons qu’ils aient les mêmes droits que les agents de La Poste et qu’ils puissent bénéficier des avantages postiers comme : le COGAS, l’intéressement, les primes facteurs, le compte épargne temps, les accords sociaux de La Poste, avantage La Banque Postale, etc.
L’emploi de ces contrats précaires doit permettre une passerelle – tout comme pour les CDD, les contrats de professionnalisations et les alternants – à une embauche pour ceux qui le souhaitent. En CDI bien entendu et sans nouvelle période d’essai.

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Nouveaux services : FO dit oui à une diversification de qualité

Malgré la baisse des volumes du courrier (-6,8%), annoncée et relayée dans tous les articles de presse de cet été, les derniers chiffres présentés au conseil d’administration du Groupe La Poste attestent d’une bonne santé financière de l’entreprise. Ces bons résultats proviennent du développement du e-commerce et de l’émergence de nouveaux services au Courrier ou à la Banque,  entre autres,  qui permettent  de compenser  en partie la baisse des volumes.

Quant au métier de facteur, il ne devrait pas être amené à disparaitre tant que la directive européenne obligera les services postaux de l’UE à assurer la distribution au moins une fois par jour, et ce, 5 jours sur 7. Pour mémoire, en France, le facteur passe 6 jours sur 7. Au niveau international, FO mettra tout en œuvre pour défendre le service universel « à la française » !

Depuis plusieurs années, La Poste tente de diversifier la fiche de poste du facteur en l’amenant à livrer des repas, des médicaments ou autres, en surfant sur la vague de la « silver economy » bref à rendre des services à la personne, mais des services payants …bien sûr !

Que La Poste profite de l’image et de la notoriété du facteur pour assurer ces services peut faire partie d’une stratégie payante pour l’entreprise que notre organisation syndicale peut accepter. Cependant, FO veille à ce que ces nouveaux services ne dégradent pas cette bonne image des factrices et des facteurs et leurs conditions de travail. Ainsi, chacun s’étonnerait fort justement de voir nos collègues commercialiser chouchous ou beignets sur la plage …

Pour FO, rien ne pourra remplacer de bon critères de départ, suffisamment cohérents pour être dispensés dans le cadre d’un service de qualité pour les clients et dans de bonnes conditions de travail. D’où notre revendication très appuyée d’une réelle prise en compte des nouvelles activités dans la charge de travail.