ACTUALITES

InFOsocial – Barèmes aide à la parentalité et aide à la périscolarité

La garde des enfants peut être payée via CESU. Si la prestation n’est pas réglée via ce mode de paiement, un remboursement sur facture est possible. Le montant de l’aide sera similaire à celui octroyé en cas d’utilisation des CESU. Il existe également une participation aux dépenses d’activités périscolaires, au frais d’accueil en centres de loisirs et garderies périscolaires dans le cadre de l’aide à la périscolarité.

[Voir les barèmes aide à la parentalité et aide à la periscolarité]

Connaissez-vous l’aide à la parentalité et aide à la périscolarité ?

parentalité

La garde des enfants peut être payée via CESU. Si la prestation n’est pas payée via ce mode de règlement, un remboursement sur facture est possible. Le montant de l’aide sera similaire à celui octroyé en cas d’utilisation des CESU.

Le COGAS offre également une participation aux dépenses d’activités périscolaires, au frais d’accueil en centres de loisirs et garderies périscolaires dans le cadre de l’aide à la périscolarité. La prise en charge varie de 27 % à 45% de la facture mensuelle dans une limite allant de 27 € a 45 € par mois et par enfant.

Voir les Barèmes aide à la parentalité et aide à la périscolarité

Les prestations, liées à la garde et aux études des enfants, doivent être revalorisées fréquemment au-delà de l’indice officiel du coût de la vie. FO Com exige des engagements forts de la part de La Poste.

Pour connaître votre tranche de Quotient Familial, cliquez ici

Championne des mesures contre-productives : La RAD

S’il est un irritant majeur qui ressort systématiquement lors de nos rencontres avec les conseillers bancaires, c’est bien la Relation À Distance. Quand le siège de La Poste dit : « les habitudes de consommation de nos clients ont évolué, ils sont demandeurs de relation à distance », personne ne répond que c’est faux.

MAIS il y a la manière… et lorsqu’il s’agit de mettre le discours en musique, c’est une tout autre histoire…

[Lire le tract]

Côté Cadres – Cadres de proximité au Courrier

La «charge de travail clandestine», star des organisations au Courrier

La Direction du Courrier, toujours en quête d’innovation, a résolu la problématique de la « surchauffe » des cadres. La solution était simple : il suffisait de cacher le thermomètre ! Derrière ce constat affligeant se cache une situation de plus en plus difficile à vivre pour bon nombre de cadres de proximité.

[Lire le tract]

Et maintenant…des rendez-vous chronométrés

rendez-vous chronométrésMais où s’arrêteront-ils ?

Courant juillet 2022, beaucoup de conseillers se sont posés la question, s’étonnant de voir apparaître une nouvelle case à remplir dans GDP. Encore une fois, aucune explication en amont, aucun sens donné par la ligne managériale, aucune concertation… Alors, les raccourcis sont vite faits : Les Cobas ne perçoivent cette nouvelle obligation que comme une autre façon d’être « fliqués » et infantilisés. Quel peut bien être l’objectif de La Poste ?

Pour la LCB, il n’y a pas de doute : en mesurant ainsi la durée des rendez-vous, La Poste cherche à ajuster le nombre de conseillers et justifier des suppressions de postes.

Raccourci ou vérité ?

C’est le conseiller qui doit sélectionner la durée du rendez-vous, pouvant aller de 15 minutes à plus d’une heure, ainsi que la méthode de vente utilisée. Les problèmes informatiques, le scan des documents, l’auto-certification, les délais pour joindre la CNP, l’IARD, ou le crédit consommation, les procédures grignotent bien trop de temps sur le temps purement commercial. Il est donc fort à parier que la plupart des rendez-vous dureront plus d’une heure !

De plus, La Poste oublie tout ce qui entoure l’acte de vente. L’importance de l’empathie est primordiale. Aujourd’hui, encore plus qu’avant, le client a besoin qu’on se soucie de lui, il ne souhaite plus être un numéro. Ça, il faut que La Poste l’intègre, tout comme elle doit accepter que le suivi du client ne débouche pas systématiquement sur un rendez-vous concrétisé ! Ce temps-là est difficilement quantifiable et nécessite de faire confiance aux conseillers.

Force est de reconnaître qu’aujourd’hui l’entreprise est à des années-lumière de cette évidence. Un management contre-productif nous semble d’un autre âge et ne permettra pas d’attirer de nouvelles recrues.