Communiqués

Social à La Poste – FO Com signe le nouvel Accord Logement !

Cher(e)s Camarades,

Le logement est une nécessité pour tous !

Après de longues négociations, FO COM a su défendre les intérêts et les besoins des postières et des postiers sur le thème du Logement. FO COM continuera son engagement afin que les agents puissent avoir un accompagnement social de choix, quelques soient leurs besoins et à tout moment de leur vie.

FO avait rappelé à La Poste l’importance d’échanger et de négocier pour son propre compte avec Action Logement (ex-1%). Ainsi, cet accord entérine le fait de développer le Groupe Poste Habitat, faisant ainsi de cette entité un moteur de la politique Logement. Cependant, FO veillera à ce que la stratégie du Groupe Poste Habitat soit un gage de qualité, de transparence, et de satisfecit à l’égard de nos collègues postiers.

Vous trouverez en pièces-jointes  :

Contrat Etat-La Poste : FO COM demande à L’Etat d’assumer ses responsabilités

Le comité de suivi de haut niveau du contrat d’entreprise Etat-La Poste présidé par Benjamin GRIVEAUX, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’économie et des finances s’est déroulé ce 23 novembre. Il doit être conclu avant la fin de l’année entre l’Etat et La Poste. Ce fut l’occasion à ce stade de faire part de nos remarques et rappeler nos revendications en matière d’obligations et de compensation des quatre principales missions de service public prévues par la loi.
Ce nouveau contrat d’entreprise 2018/2022, s’inscrit globalement dans la suite du précédent contrat 2017/2017avec un niveau d’obligations et de subventions presque identique au précédent. Force Ouvrière déplore la poursuite de la compensation partielle des missions de service public que nous estimons à 500 millions d’euros de perte chaque année pour le groupe. La subvention relative à la distribution de la presse diminuera pour la seule année période 2018/2019 de 8 M d’euros et pour les années suivantes le montant annuel sera déterminé ultérieurement. C’est une régression supplémentaire que le groupe devra supporter au moment où il effectue une transition nécessaire vers de nouveaux métiers et services particulièrement dans la branche du Courrier. C’est dans ces moments stratégiques où le groupe doit aussi faire face à une diminution de ce courrier que l’entreprise détenue à 74% par l’État devrait pouvoir compter sur son actionnaire principal pour effectuer cette mutation dans de bonnes conditions.
Nos revendications rappelées ont été :

  • Donner les moyens financiers au groupe pour permettre la transformation de La Poste dans de bonnes conditions humaines et structurelles ;
  • Nous demandons la compensation de la perte du trafic courrier sous quelque forme que ce soit. L’augmentation d’objets colis à distribuer à hauteur de 150 millions d’objets soit + 7,7% ne compense pas la chute du courrier ;Nous demandons la compensation intégrale des missions de service public confiées par l’Etat à la Poste. La baisse des coûts est actuellement supportée principalement par les suppressions des emplois ;
  • L’arrêt de la transformation de bureaux de plein exercice en Agence Postale Communale ou intercommunale, en relais poste ou toute autre forme de partenariat. Nous considérons que c’est une régression et par ailleurs ces transformations favorisent l’évolution de la fracture numérique ;
  • L’augmentation du prix du timbre devenu une habitude contribue à la baisse de l’activité dans le domaine du courrier ;
  • La baisse des coûts supportés principalement par les suppressions d’emplois est inappropriée et rend toujours plus difficiles les conditions de travail des postiers.

Si La Poste est encore à ce jour considérée comme un pilier du service public en France, il lui incombe cependant d’obtenir de l’Etat d’une part les moyens nécessaires et d’autre part de les rapprocher sur le terrain aux endroits permettant d’assurer une crédibilité et un bon
fonctionnement de ses missions de service public.

Paris, le 23 novembre 2017
Le Secrétaire Général
Philippe CHARRY

Social à La Poste – Nouvelles embauches et prestations sociales : FO vous énonce vos droits !

Cher(e)s Camarades,
Les activités sociales de notre entreprise sont encore trop méconnues auprès de nos collègues postières et postiers, notamment pour les jeunes actifs fraichement CDIsés. Cet état de fait est préjudiciable puisque ceux-ci peuvent bénéficier d’un petit plus sur certaines prestations d’action sociale du COGAS*.

Afin de vous donner du « grain à moudre » lors de vos prises de contact, ou bien pour donner de l’information à vos adhérents, la Fédération met à votre disposition un guide (voir pièce-jointe) :
« InFO Social : Nouvelles embauches et prestations sociales :
FO vous énonce vos droits ! »

Quatre exemplaires seront envoyés par section. Si vous souhaitez bénéficier d’autres exemplaires, merci d’avance d’envoyer un mail à l’adresse suivante – social.focom@fo-com.com – .

Il vous faudra préciser : • Le nombre d’exemplaires désirés ; • La section destinataire.

Vous pouvez également retrouver ce guide sur notre site Internet Fédéral Poste dans l’onglet Social => Guide Sociaux.

Fraternels Sentiments Syndicalistes,
Paris, le 21 juin 2017 Le Bureau Fédéral

Affaire suivie par Pauline COUTEAU

*COGAS : Conseil d’Orientation et de Gestion des Activités Sociales de La Poste

La Fonction Publique : un modèle à défendre et à préserver

Après une première audience avec le ministre en charge de la Fonction publique, Gérald Darmanin, qui n’avait pas permis de lever les inquiétudes suscitées par certains points du programme d’Emmanuel Macron, les récentes annonces du Gouvernement faisant suite au rapport de la Cour des Comptes ont malheureusement confirmé une nouvelle attaque contre la Fonction publique et ses agents.
Sur les missions et les effectifs  Au service des populations et de l’intérêt général, les agents publics sont des maillons indispensables pour la mise en œuvre des missions et politiques publiques essentielles pour la cohésion sociale.  Nous tenons à redire que les agents ne sont en rien une variable d’ajustement budgétaire.  Nos organisations syndicales s’opposent donc fermement à la volonté affichée de supprimer 120 000 postes de fonctionnaires sur le quinquennat à venir mais également à la préconisation de la Cour des Comptes de recourir à nouveau aux non remplacements de fonctionnaires partant à la retraite.  Nombre de services, d’administrations sont déjà lourdement pénalisés par les suppressions d’emplois intervenues ces dernières années. Pour la même cause, la plupart des personnels a vu ses conditions de travail se dégrader considérablement.  Si les créations d’emplois dans les missions liées à la sécurité publique ne sont pas contestables, bien d’autres secteurs doivent également pouvoir en bénéficier.

Sur les salaires et le pouvoir d’achat
Nos organisations syndicales tiennent à affirmer de nouveau que les deux revalorisations de 0,6 % de la valeur du point, intervenues en juillet 2016 et en février 2017, sont insuffisantes après six années de gel intégral.  En totale opposition à l’annonce d’un nouveau gel de la valeur du point d’indice pour 2018, nous demandons donc qu’une négociation salariale soit ouverte en 2017 et que celle-ci soit l’occasion de prendre rapidement de nouvelles mesures générales visant à revaloriser le point d’indice et restaurer le pouvoir d’achat des agents de la Fonction publique par le biais d’une augmentation uniforme du point d’indice dans les trois versants de la Fonction Publique.

Sur le statut général
Le statut général, c’est avant tout une garantie pour les citoyens d’un agent public neutre et impartial dans l’exercice de ses missions.  Ni facteur d’immobilité ni source de privilège, il a au contraire apporté la preuve, en s’adaptant régulièrement aux besoins contemporains, de sa modernité et de sa capacité à répondre aux exigences du service public.  C’est pourquoi, nos organisations syndicales y sont fondamentalement attachées.  Une des conséquences de notre engagement en faveur du statut est que nous estimons que le recours au contrat, déjà excessif, doit être réduit et mieux encadré.  Trop souvent, les agents de la Fonction publique, sont présentés comme des nantis, jouissant d’avantages infondés.  Participer à ces campagnes malhonnêtes et nocives, par exemple en rallongeant le temps de travail, et en rétablissant le jour de carence ne pourrait rencontrer que notre complet désaccord.
Nos organisations rappellent leur attachement au socle que constituent les régimes de retraite des fonctionnaires.  Les nécessaires réformes, pour lesquelles nous sommes disponibles et pour lesquelles nous militons, ne peuvent en rien être synonymes de reculs, voire de démantèlement.  En conclusion, la démocratie sociale implique le respect des organisations syndicales représentatives, le respect de la négociation et des règles du dialogue social, antinomiques de décisions prises à la hâte et de passages de force.  Ce sont ces exigences que nous portons et continuerons de porter ensemble.

PARIS, le 6 juillet 2017

Social à La Poste – COGAS – FO défend ardemment l’équité entre tous les agents !

Cher(e)s Camarades,

Lors du COGAS* du 28 juin 2017, FO a réaffirmé son engagement de faire entendre la parole et les besoins des postiers en matière d’activités sociales dans l’entreprise.

FO a insisté une nouvelle fois sur la préservation des budgets alloués aux prestations sociales ainsi qu’aux associations en mettant en lumière le risque lié à la restauration. Au travers de notre déclaration préalable, nous avons mis en avant différents items importants rattachés à l’actualité du COGAS.

Plusieurs points étaient à l’ordre du jour et FO s’est prononcé favorablement sur l’ensemble des propositions.

A ce titre, vous trouverez en pièce-jointes :